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Semaine liberté au Pays basque (64)
Du 12 au 19 avril 2025
4e Jour - mardi 15 avril
Petit déjeuner à l'hôtel Txitulari.
Visite de la ville de Bilbao en Espagne, puis visite du musée Guggenheim de Bilbao.
Soirée à l'hôtel Txitulari.
Le musée Guggenheim de Bilbao est un musée d'art moderne et contemporain situé à Bilbao au Pays basque espagnol qui a ouvert au public en 1997.
C'est l'un des deux musées de la fondation Solomon R. Guggenheim. La structure innovante du bâtiment a été dessinée par Frank Gehry dans le style qui l'a rendu célèbre. Sa silhouette est le fruit d'un assemblage singulier de pierre, de verre et de titane. Le musée devint rapidement un des bâtiments contemporains les plus connus et appréciés au monde, ce qui a énormément fait pour le renouveau et la notoriété de la ville. Les chercheurs ont appelé cet impact, sur toute une ville, de la construction et de l'ouverture au public d'un lieu culturel remarquable, depuis l'ouverture du musée Guggenheim de Bilbao, « Effet Bilbao »
Helen Frankenthaler (1928–2011) a joué un rôle majeur dans la transition de l’expressionnisme abstrait au color-field painting (littéralement « peinture du champ coloré »). Reconnue pour avoir inventé la technique du soak stain (tremper-tacher) sur laquelle elle expérimente pendant des décennies, l’artiste a conçu un corpus considérable d’oeuvres sur toile et sur papier, ainsi que des sculptures, des céramiques, des tapisseries et des oeuvres graphiques. Ses créations novatrices, présentes dans les collections des plus grands musées du monde, continuent d’inspirer les artistes contemporains.
Née à New York, Frankenthaler étudie l’art avec une approche classique sous la direction de Paul Feeley, au Bennington College, dans le Vermont, avant de rentrer à Manhattan, où elle s'est tournée vers l’abstraction. Au début des années 1950, elle rencontre les figures phares de l’École de New York, des icônes de l’art américain d’après-guerre qui partagent avec Frankenthaler un engagement en faveur de l’expérimental et qui, dans certains cas, intégreront son cercle social le plus proche.
Richard Serra est l’un des plus importants sculpteurs du XXe siècle. Son œuvre est exposée dans les principaux musées et collections du monde entier. Cette première exposition à Bilbao a réuni ses sculptures les plus récentes dans la Salle 104, le seul espace en Europe dont les caractéristiques permettent d’accueillir ces œuvres formidables.
Cette exposition a déjà eu lieu à Los Angeles, organisée par le Directeur du Musée d’art contemporain (MOCA), Richard Koshalek, et Julia Brown, conservatrice d’expositions spéciales au Solomon R. Guggenheim Museum de New York. Organisée à Bilbao par Carmen Giménez, conservatrice du XXe siècle au Solomon R. Guggenheim Museum de New York l’exposition a compris huit œuvres de la série exceptionnelle Torsions elliptiques (Torqued Ellipses, 1996–98), dont trois ont été présentées pour la première fois au public à Bilbao à côté de son œuvre Serpent (Snake, 1996), qui appartient à la Collection du Musée Guggenheim Bilbao et qui a été tout particulièrement conçue par l’artiste pour son inauguration.
Cette exposition marque le lancement de in situ, une nouvelle série consacrée à des installations conçues et réalisées en interaction avec le lieu qui les accueille et qui repoussent les limites des pratiques contemporaines. Faisant appel à des artistes de disciplines variées — arts visuels, technologie, musique et performance —, in situ explore de nouvelles manières de percevoir et d’habiter l’espace.
in situ : Refik Anadol accueille Architecture vivante : Gehry, une installation audiovisuelle révolutionnaire qui réimagine — à l’aide de l’intelligence artificielle et de l’art génératif — l’héritage architectural de Frank Gehry. Pour la réaliser, un logiciel personnalisé de technologie avancée fondé sur l’IA, appelé Large Architecture Model (LAM), a été entraîné pendant des mois avec un grand nombre d’images, de croquis et de plans en libre accès afin de traduire le vocabulaire architectural de Gehry en un paysage numérique de formes, de couleurs et de mouvements dynamiques en constante évolution. Ce spectacle visuel est accompagné d’un paysage sonore immersif composé par Kerim Karaoglu, basé sur des sons générés par l’IA et des enregistrements réalisés dans le Musée lui-même.
Chefs-d’œuvre sur papier de Budapest est le résultat d’un partenariat entre le Musée Guggenheim Bilbao et le Musée des Beaux-Arts – Galerie Nationale Hongroise de Budapest, une institution renommée qui abrite des collections d’art international de l’Antiquité au XXIe siècle, et des œuvres d’art hongroises datant du Moyen Âge jusqu’à aujourd’hui. Parmi les collections qui composent son fonds, celle des Estampes et dessins se distingue par son ampleur et son étendue temporelle. Elle comprend, en effet, environ 9000 dessins et 100 000 gravures d’auteurs européens. Réunissant une sélection large et variée d’œuvres de grands artistes, tels que Albrecht Dürer, Léonard de Vinci, Raphaël, Rembrandt, Francisco de Goya, Miklós Barabás, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Egon Schiele, Victor Vasarely, Vera Molnar, Judit Reigl, Dóra Maurer, Georg Baselitz, Katharina Grosse et Gerhard Richter, cette exposition offre un panorama complet de la création graphique, du XVe siècle à nos jours. Les quelque 150 chefs-d’œuvre sélectionnés retracent la tradition séculaire du dessin et de la gravure, deux genres ouverts en permanence au renouvellement, mettant en avant différentes solutions formelles, leurs traits essentiels et leurs effets esthétiques caractéristiques.
Articulée en douze sections thématiques, l’accrochage met en lumière les différentes tendances de chaque époque, les interactions et les questions clé qui se posent dans les domaines du dessin et de la gravure. Si l’exposition présente au public la diversité technique caractéristique de ces médiums, elle va bien au-delà. Elle explore, en effet, la fonction du dessin et de la gravure dans l’histoire de l’art, ainsi que leur fidélité à leur essence au fil des siècles et à travers les nombreux changements de tendances et de styles.
Figure centrale du modernisme brésilien, Tarsila do Amaral (ou Tarsila, de son nom d’artiste) est la créatrice d’une œuvre originale et évocatrice, puisant dans les imaginaires indigéniste et populaire autant que dans les instances modernisatrices d’un pays en pleine transformation.
Dans les années 1920, évoluant entre São Paulo et Paris, elle est une passeuse entre les avant-gardes de ces deux capitales culturelles, mettant son univers iconographique brésilien à l’épreuve du cubisme et du primitivisme, en vogue dans la capitale française. Sa peinture inspire alors les mouvements Pau-Brasil et Anthropophage, dont la quête d’un Brésil « authentique », multiculturel et multiracial, vise à refonder sa relation avec les « centres » européens de la colonisation.
Figure centrale du modernisme brésilien, Tarsila do Amaral (ou Tarsila, de son nom d’artiste) est la créatrice d’une œuvre originale et évocatrice, puisant dans les imaginaires indigéniste et populaire autant que dans les instances modernisatrices d’un pays en pleine transformation.
Dans les années 1920, évoluant entre São Paulo et Paris, elle est une passeuse entre les avant-gardes de ces deux capitales culturelles, mettant son univers iconographique brésilien à l’épreuve du cubisme et du primitivisme, en vogue dans la capitale française. Sa peinture inspire alors les mouvements Pau-Brasil et Anthropophage, dont la quête d’un Brésil « authentique », multiculturel et multiracial, vise à refonder sa relation avec les « centres » européens de la colonisation.
Cette présentation de la Collection du Musée Guggenheim Bilbao présente une sélection d’oeuvres fondamentales qui cristallisent des moments clé de l’histoire de l’art après la Seconde Guerre mondiale. Geste ambitieux visant à amplifier la résonance entre art et architecture, cette installation, faite de plusieurs des pièces majeures de la Collection, met en valeur l’architecture originale du bâtiment et elle est un chant aux espaces lumineux et dégagés du troisième étage du Musée.
Cette exposition s’inspire tout autant du fonds d’oeuvres singulières d’artistes individuels que des mouvements de l’histoire de l’art, bien illustrés par notre Collection. Ainsi, l’accrochage met en lumière des auteurs qui ont travaillé à l’avant-garde de leur époque et dont la contribution a été réellement déterminante dans leur domaine. Chaque salle donne l’occasion de contempler la production d’un artiste, ou de plusieurs, qui explorent des préoccupations partagées depuis différentes perspectives.
Descriptif de l'hébergement
Chambre spacieuse pour une ou deux personne
Hôtel restaurant
L’authenticité d’une maison, l’accueil d’une famille et le charme du pays basque intérieur.
Nous avons imaginé notre hôtel restaurant comme une maison : accueillante, confortable, à la cuisine du Pays généreuse, entouré de verdure et au calme.
Grand jardin, piscine chauffée, salon, terrasse, bar, salle de restaurant, chambres spacieuses accessibles par ascenseur, parking.
Depuis trois générations la famille Usandisaga vous accueille au Txistulari.
Anne-Marie attentive au moindre détail veille à la qualité et au confort de votre séjour.
En cuisine, Jean-Jacques et ses fils Michel et Pierre vous proposent une cuisine du Pays, généreuse et authentique, réalisée avec des produits frais de saison.
Chipirons à l’Américaine, axoa de veau, agneau de lait du pays selon la saison, ris d’agneau aux cèpes, anguilles, magret de canard à la cerise, omelette aux cèpes, charcuteries et jambon de Bayonne…
GO : Noël D.